Pour plus de sécurité, fbls voiturelectrique est sur : https://www.fbls.net/voitureelectrique.htm
"Les voitures électriques ont fait parti du passé et sont l'avenir"
Frédéric Fabre docteur en droit.
- LA VOITURE ÉLECTRIQUE NE SOUMET PAS L'AGRICULTURE A LA PRODUCTION DE CARBURANT
- LA VOITURE ÉLECTRIQUE EST UNE INVENTION FRANCAISE
- AUTOLIB' A PARIS
- HIRIKO UNE VOITURE PLIABLE ELECTRIQUE
- ZOE ET TWIZZY DE RENAULT
- NISSAN LEAF
- MODELE S ET ROADSTER DE TESLA MOTORS
- VENTURI FETISH
- MOBILE DREAM
- UN RAPPORT DE L'ONU ALERTE SUR LES DEGATS DES BATTERIES DES VOITURES ELECTRIQUES
- UNE BATTERIE ELECTRIQUE RECYCLABE QUI PERMET A UNE VOITURE DE ROULER 2 400 KILOMETRES SANS ÊTRE RECHARGEE
Le Décret n° 2021-546 du 4 mai 2021 porte modification du décret n° 2017-26 du 12 janvier 2017 relatif aux infrastructures de recharge pour véhicules électriques et portant diverses mesures de transposition de la directive 2014/94/UE du Parlement européen et du Conseil du 22 octobre 2014 sur le déploiement d'une infrastructure pour carburants alternatifs.
L'Arrêté du 4 mai 2021 est relatif aux données concernant la localisation géographique et les caractéristiques techniques des stations et des points de recharge pour véhicules électriques.
L'Arrêté du 15 février 2021 fixant le barème forfaitaire permettant l'évaluation des frais de déplacement relatifs à l'utilisation d'un véhicule par les bénéficiaires de traitements et salaires optant pour le régime des frais réels déductibles, prévoit un bonus de 20% pour les déplacements en voiture électrique.
Le Décret n° 2021-37 du 19 janvier 2021 est relatif aux aides à l'acquisition ou à la location de véhicules peu polluants.
Le Décret n° 2019-1526 du 30 décembre 2019 est relatif aux aides à l'acquisition ou à la location des véhicules peu polluants. 3 000 euros pour une voiture achetée par une personne morale et 6 000 euros pour une voiture achetée par une personne physique.
Le Décret n° 2012-1545 du 28 décembre 2012 modifie le décret n° 2007-1873 du 26 décembre 2007 instituant une aide à l'acquisition des véhicules propres.
L'Arrêté du 28 décembre 2012 modifie l'arrêté du 26 décembre 2007 relatif aux modalités de gestion de l'aide à l'acquisition des véhicules propres.
Le Décret n° 2013-618 du 11 juillet 2013 est relatif à la définition des véhicules assujettis à la taxe sur les véhicules de transport de marchandises.
La LOI n° 2014-877 du 4 août 2014 facilite le déploiement d'un réseau d'infrastructures de recharge de véhicules électriques sur l'espace public.
Le Décret n° 2015-361 du 30 mars 2015 modifie le décret n° 2014-1672 du 30 décembre 2014 instituant une aide à l'acquisition et à la location des véhicules peu polluants.
L'Arrêté du 15 décembre 2015 est relatif à la collecte des déchets de pneumatiques.
Nous pouvons analyser GRATUITEMENT et SANS AUCUN ENGAGEMENT vos griefs pour savoir s'ils sont susceptibles d'être recevables devant le parlement européen, la CEDH, le Haut Commissariat aux droits de l'homme, ou un autre organisme de règlement international de l'ONU. Contactez nous à fabre@fbls.net
Si vos griefs semblent recevables, pour augmenter réellement et concrètement vos chances, vous pouvez nous demander de vous assister pour rédiger votre requête, votre pétition ou votre communication individuelle.
LA VOITURE ELECTRIQUE NE SOUMET PAS
L'AGRICULTURE A LA PRODUCTION DE CARBURANT
La voiture électrique est une alternative intéressante à l'essence verte produite de végétaux.
Une batterie d'accumulateurs fournit l'énergie provenant :
soit de la recharge par câble depuis une source extérieure,
soit de la décélération du véhicule, le moteur fonctionnant alors en générateur.
La capacité des batteries varie actuellement de 15 à 50 kWh, leur tension totale de 300 à 500 V. L'autonomie du véhicule dépendra directement de la capacité de la batterie, du type de trajet (plat, varié, urbain...), du mode de conduite et des accessoires utilisées (phares, chauffage, climatisation, essuies glace et autres accessoires...). Les constructeurs annoncent une autonomie moyenne de 150 km.
Les batteries permettent d'assurer une autonomie comprise entre 100 et 300 km, et nécessitent des temps de recharge d'environ 8 heures. Certains véhicules électriques sont donc munis de générateurs électriques internes : moteur thermique classique assurant selon la situation une partie de la traction ou une fonction de groupe électrogène (Automobile hybride électrique), pile à combustible ou autre groupe électrogène, éventuellement des panneaux solaires intégrés à la carrosserie pour des véhicules spécialement économes.
Le coût de la batterie, nécessairement plus élevé que celui d'un simple réservoir d'essence, représente une partie significative du coût du véhicule. Cependant, aux prix actuels, sa recharge est plus économique, à kilométrage égal, dans les pays où l'électricité n'est pas elle-même majoritairement fabriquée à partir de combustibles fossiles. Une solution adoptée par quelques fabricants est donc de louer la batterie, ce qui présente différents avantages : le prix d'achat du véhicule moins dissuasif, l’échange a la station service ou a domicile rapide mais aussi la certitude que la batterie sera récupérée pour recyclage en fin de vie au lieu d'être abandonnée dans la nature. Le coût unitaire de ce recyclage dépendra bien entendu du succès de la formule.
LA VOITURE ELECTRIQUE EST UNE INVENTION FRANCAISE
Le premier véhicule électrique, un train miniature, est construit par Thomas Davenport en 1834. En 1835, Sibrandus Stratingh met au point une voiture électrique expérimentale à échelle réduite.
Les voitures électriques ont débuté leur essor un demi-siècle plus tard, grâce notamment à l'invention par le physicien français Gaston Planté (1834-1889) de l'accumulateur électrique. En 1859, il met au point l'accumulateur plomb/acide, la première batterie électrique rechargeable.
Son premier modèle se compose d'un rouleau spiralé de deux feuilles de plomb pur séparées par un tissu en lin, plongé dans un récipient en verre contenant une solution d'acide sulfurique. L'année suivante, il présente une batterie au plomb de neuf cellules à l'Académie des sciences.
Camille Faure (1840-1898) fait breveter en 1880, une méthode pour enrober les plaques de plomb avec une pâte de plomb oxydé, d'acide sulfurique et d'eau, qui est alors séché en étant doucement réchauffé dans une atmosphère humide. Lors du séchage la pâte se change en une mixture de sulfates de plomb qui va adhérer à la plaque de plomb. En séchant la pâte chargée va être convertie en matière électrochimique active, appelée la "masse active", et augmente substantiellement la capacité comparée avec la batterie de Gaston Planté. Cette invention révolutionnaire et significative va développer la fabrication industrielle de batteries en plomb, maintenant utilisé dans les moteurs de voitures.
Un autre Français, l'ingénieur, physicien et chimiste Gustave Trouvé (1839-1902), crée l'usage du moteur électrique.
Tout commence avec le bateau électrique dont le premier test est pratiqué le 26 mai 1881. Ce premier hors-bord utilise un moteur électrique fonctionnant grâce à une bobine Siemens améliorée par Gustave Trouvé. Ce moteur est placé à la poupe d'un canot de 5 m de long nommé le Téléphone, permet le transport des piles nécessaires à l'alimentation du moteur. Les premiers essais sont fait sur la Seine en présence de nombreuses personnalités du monde scientifique. Les vitesses atteintes sont d'1 m/s soit 3,6 km/heure à contre-courant et 2,5 m/s soit 9 km/heure dans le sens du courant.
Il présente présente en 1881 une automobile électrique à l'occasion de l'Exposition internationale d'Électricité, qui se déroule à Paris.
Pour la course Paris-Bordeaux-Paris de 1895, une voiture électrique est sur la ligne de départ. Le carrossier Charles Jeantaud conduit un break à six places aux roues en bois. Cette voiture de 7 chevaux embarque 38 accumulateurs Fulmen de 15 kg chacun. L’autonomie est d’une cinquantaine de kilomètres, à la moyenne de 24 à 30 km/h, ce qui l'oblige à disposer des batteries neuves tout au long du parcours
Les premiers taxis électriques font leur apparition dans les rues de New York en 1897.
En 1899, l'ingénieur belge francophone
Camille Jenatzy (1868-1913) met au point un modèle resté célèbre sous le nom de
"la Jamais Contente". Ce modèle électrique en forme d'obus est le
premier à dépasser les 100 km/h, culminant à très exactement 105,88 km/h le 29
avril 1989 à Achères dans les Yvelines. À cette époque, il n'est pas exagéré de
parler de véritable « success story » de la voiture électrique.
Popularisé par la Ford T, produite à plus de seize millions
d'exemplaires entre 1902 et 1927, le moteur à explosion s'impose. Le taylorisme
amène une standardisation des voitures thermiques, de facto moins
coûteuses que leurs homologues électriques, mais aussi plus puissantes.
Du fait des prix des très bas des carburants, les modèles à essence sont sans rivaux au XXe siècle.
Sous la présidence de Jimmy Carter, le Congrès américain vote en 1976 l'Electric and Hybrid Vehicle Research, Development and Demonstration Act, un texte ayant vocation à stimuler l'innovation en matière de véhicules alternatifs et décarbonés et qui n'est sans doute pas étranger au lancement par General Motors, vingt ans plus tard, du modèle EV1, disponible à la location en Arizona et en Californie pendant une durée de trois ans et qui rencontra un succès honorable. Équipée de batteries plomb-acide – le lithium-ion n'était pas encore d'actualité - et atteignant 125 km/h, cette première voiture électrique de série connait cependant une fin tragique. « GM » rappelle en effet ses véhicules et se résigne à les détruire.
Diffusé pendant l'été 2006 et réalisé par Chris Pane, un documentaire intitulé "Qui a tué la voiture électrique ?" impute ce dénouement regrettable à l'administration Bush dont le père est l'un des principaux représentants des lobbies pétroliers texans , lesquels auraient poussé le constructeur à stopper le programme EV1.
L'EXPERIENCE AUTOLIB' A PARIS
Le site internet est : http://www.autolib.eu/
Autolib’ est une contraction de automobile et liberté est le service de voitures électriques en libre-service en forme d'auto-partage de l'agglomération parisienne mis en service le 5 décembre 2011. Autolib' est géré par le groupe industriel Bolloré.
Dès l'origine, le service Autolib' n'a pas été pensé uniquement à l'échelle de Paris intra-muros, mais bien à une échelle intercommunale plus large. Ainsi, le maire de Paris Bertrand Delanoë a proposé à 81 communes représentant le cœur dense de l'agglomération parisienne de participer au dispositif. Afin de piloter le projet sur l'ensemble des communes intéressées, une structure intercommunale dédiée a été créée sous le nom de syndicat mixte Autolib'.
À sa création le 9 juillet 2009, le syndicat mixte était composé de 19 communes dont Paris.
Le véhicule choisi pour Autolib' est la Bluecar, une voiture électrique produite par la société Batscap, filiale du groupe Bolloré. Il est équipé de batteries Lithium Métal Polymère fabriquées à Ergué-Gabéric en Bretagne. L'autonomie annoncée est de 250 km en parcours urbain, pour une recharge moyenne effectuée en 4 heures. Le designer est l'italien Pinifarina, mais l'essentiel de la production est faite par la société "Cecomp".
La Bluecar est un véhicule à 3 portes et 4 places qui nécessite la possession d'un permis de conduire. La banquette arrière est abattable afin d'augmenter le volume de chargement du coffre. Pour les besoins du service Autolib', la planche de bord est équipée d'un écran tactile spécifique, qui offre notamment à l'utilisateur le guidage GPS avec la possibilité de créer un itinéraire vers sa station d'arrivée.
Il est prévu de déployer environ 3 000 véhicules. Ce nombre augmentera si de nouvelles communes adhèrent au dispositif Autolib'.
Les stations Autolib' ont 6 places de stationnement en moyenne. Chaque place de stationnement est équipée d'une borne de recharge pour véhicule électrique et chaque station est dotée d'une borne interactive à écran tactile permettant notamment à l'usager de choisir et de réserver sa station d'arrivée.
Certaines stations sont équipées d'un kiosque situé sur le trottoir et sont alors appelées « Espaces Autolib' ». Un agent du service y est présent tous les jours de 8 h à 20 h, notamment pour accueillir le public, procéder à l'inscription au service et délivrer les badges d'abonnement. Au moins un « Espace Autolib' » est installé par commune adhérente et par arrondissement parisien.
Le site du syndicat mixte est : http://www.autolib-paris.fr/
LA BOLLORE BLUECAR
La Bolloré Bluecar est une petite voiture électrique de ville conçue par le fabricant de batterie Batscap (Bolloré 80 % et EDF 20 %) installé à Ergué-Gabéric, commune périphérique de Quimper, en Bretagne, et près de Montréal au Canada, modèle dérivé de la Bluecar du groupe Bolloré. Son autonomie est de 250 km.
La Bluecar est une voiture en forme de bulle conçue par l'ingénieur Philippe Guédon, ancien PDG de Matra Automobile, père chez Matra de l'Espace dite "Espace Renault". Elle a été réalisée par le constructeur pour présenter un nouveau type de batteries au lithium-métal polymère. La première version, initialement connue sous le nom de code VBE1 ou Blue Car 1, a été présentée lors de salons automobiles. Une évolution du modèle, la Blue Car 2, a été produite à 6 exemplaires en avril 2007. Le véhicule comporte 3 places à l'avant et 2 places à l'arrière. La Blue Car a été homologuée pour rouler sur la voie publique en novembre 2007.
Batscap, après avoir été en discussion avancée avec différents constructeurs automobiles, a finalement signé un partenariat avec Pininfarina et créé une société commune avec le constructeur italien pour ce projet. La voiture est fabriquée à Turin dans les ateliers de Pininfarina et siglée du nom du carrossier italien.
Les batteries sont produites dans les deux usines du groupe Bolloré, à Quimper et près de Montréal. L'usine de Quimper a été inaugurée en juin 2009 et celle de Montréal peu de temps après. La mise en production des batteries est lancée en septembre 2009.
Depuis février 2013, le modèle quatre places produit par Pininfarina est disponible à la vente. Il est commercialisé sur Internet et par un réseau de distributeurs locaux. Le prix annoncé est de 12 000 €, qui tient compte en France de la prime d'État de 7 000 € pour l'achat d'un véhicule électrique. Le constructeur propose une location de la batterie à 80 € par mois (kilométrage illimité). La batterie est échangée à 400 000 km. Il faudra compter également acheter le câble électrique en supplément (non compris dans la vente de la voiture) - 700 € et/ou le montage d'une Bluebox à 1 200 €.
BMW VOLE LA TECHNOLOGIE BOLLORÉ
BMW est soupçonné d'espionnage industriel à la suite d'une plainte contre X déposée par le groupe Bolloré, qui produit la Bluecar et exploite le système Autolib' à Paris. La source du conflit ? Les bornes de recharge électrique auxquelles BMW se serait un peu trop intéressé au goût de son homologue français.
Le 10 septembre 2013, le groupe Bolloré vient de porter plainte contre X auprès du procureur de Paris pour "abus de confiance", "intrusion dans un système automatisé de données" et "dégradation". Jeudi dernier, le 5 septembre, deux techniciens allemands sont interpellés en flagrant délit et mis en garde à vue par les forces de l'ordre françaises.
Des informations accessibles depuis les bornes
Depuis le 21 août, ils auraient approché à plusieurs reprises les bornes de rechargement Autolib' de la capitale avec du matériel informatique embarqué dans une voiture. Des membres du personnel du service de véhicules électriques en libre-service auraient donné l'alerte, avant de noter le numéro du véhicule utilisé.
Du côté de Bolloré, on est furieux. "On ne sait pas pour le moment quelles informations ils ont pu récolter ou quelles technologies ils ont utilisées", a indiqué à l'AFP un porte-parole d'Autolib', Jules Varin. "Tout ce qu'on peut dire c'est qu'on (Bolloré) a de l'avance sur plusieurs technologies sur lesquelles nous avons investi beaucoup d'argent, dont la batterie et des systèmes de géolocalisation". Précision: "même s'il faut une clé spéciale, des informations peuvent être accessibles à partir des bornes".
Or, il s'avère que le compte Autolib' utilisé par les deux experts allemands interpellés est associé à un email de la société P3 Group. Ce prestataire, qui travaille avec de nombreux constructeurs automobiles, se définit comme un spécialiste du conseil international en ingénierie selon son site web. Et BMW, qui vient de présenter sa première voiture 100% électrique, la BMW i3, au salon de Francfort, a déjà fait appel par le passé aux services de P3 Group.
HIRIKO UNE VOITURE PLIABLE ÉLECTRIQUE
Monsieur José Manuel Barroso a présenté le 24 janvier 2012 à Bruxelles, le prototype de la première voiture électrique pliable. Baptisé « Hiriko » (« urbain » en basque), développé par Afypaida, une société espagnole spécialisée dans l'industrie automobile, et par le centre basque pour l'innovation et l'entrepreneuriat Denokinn, en collaboration avec le Massachusetts Institute of Technology (MIT), ce véhicule dédié à un usage urbain sera produit dès 2013.
Destinée aux services de mobilité comme
l'auto-partage et au grand public, la Hiriko n’émet pas de CO2 et peut
accueillir deux personnes. Surtout, elle peut être pliée afin d'occuper trois
fois moins de place au moment de se garer, ce qui permet de réduire
l'encombrement et le trafic automobile dans l'espace urbain.
L'homologation de cette voiture décarbonée et compacte est prévue pour juillet .
Le projet coordonné par l'ingénieur Armando Gaspar, qui a présidé le centre
industriel Daimler (Espagne) entre 2004 et 2007, consiste en la
conception d’un véhicule doté de quatre roues motrices qui ne mesurerait plus
qu’1,5 mètre de long une fois plié et garé.
Equipée d'un volant téléscopique,
la Hiriko atteindrait une vitesse de pointe de 90 km/h pour une
autonomie de 120 kilomètres et un poids 730 kilogrammes, le tout moyennant 12
500 euros. Dépourvue de portes latérales, la voiture pliable sera par ailleurs
équipée d'un toit ouvrant permettant au conducteur de sortir par l'avant.
Depuis janvier 2010, sept entreprises basques travaillent sur cette voiture.
L'entreprise Guardian par exemple produit, transforme le verre et s'est
occupée de concevoir la vitre de la Hiriko. La société Forging
products est quant à elle chargée de la mise au point de pièces forgées, de
l'élaboration et de la fabrication du châssis en aluminium. L'objectif du
consortium ? Produire neuf mille Hiriko par an dès 2015 dans les
différentes usines qui seront chargées de l'exploitation.
ZOE DE RENAULT
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La Renault Zoé est une voiture totalement électrique, c’est également le premier modèle Renault à être équipé d’un système « Range OptimiZer » grâce auquel, il peut atteindre une autonomie de 210 km en cycle NEDC. Côté sécurité, la citadine est également équipée d’un « Z.E. Voice » qui sert surtout à prévenir les piétons de son arrivée. Pour cela, le conducteur a le choix entre un son Pure, Glam ou Sport. Et en ce qui concerne sa dimension, la Renault Zoé mesure 4084 mm de longueur, 1740 mm de largeur et 1568 mm de hauteur.
Design et style de la Renault Zoé électrique
Le Renault Zoé adopte le même style que son prédécesseur, le Renault Zoé Preview exposé au Salon de l’auto de Paris il y a deux ans. D’après le chef de projet Design Zoé, Agneta Dahlgren-Hermine, la voiture a été conçue de façon à ce que sa dimension écologique soit apparente aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. Celle-ci peut se lire à travers les couleurs qui sont légèrement claires en ce qui concerne l’intérieur de la voiture : blanche, bleue, etc.
Zoé : une nouvelle page pour Renault
La marque au losange a dévoilé pour la première fois la future Zoé au mondial de l’auto de Paris 2010. Cette citadine fonctionnera en totalité avec des batteries électriques, proférant au moteur une puissance de 80 ch et un couple de 222 Nm. Avec cette motorisation, la Zoé roulera jusqu’à 135 km/h pour une émission en gaz carbonique de 12 g/km. Une grande révolution en perspective pour l’industrie automobile française.
Renault a affirmé la disponibilité de cette voiture électrique dès l'automne 2012 au prix de 15 700 euros pour la France primes déduites puisque son coût est de 20 700 euros. Les usines du constructeur à Flins, dans les Yvelines, assureront la production de cette nouvelle citadine et de deux autres nouveaux modèles de la marque. Le constructeur lance dès maintenant des appels à candidature massive pour étoffer son équipe et pour respecter le délai imparti à la sortie de la Zoé.
Un point fortement négatif, la batterie est louée 72 euros par mois.
TWIZZY DE RENAULT
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La Renault Twizzy, citadine deux places développée par le constructeur français Renault est disponibles en trois versions. Le modèle de base de la smartcar électrique est à 8099 euros.
Concept entièrement non polluant, le véhicule développé par Renault allie confort, mobilité et sécurité et répond parfaitement aux exigences de la mobilité en milieu citadin grâce à ses dimensions réduites, de 2,30 m de long et 1,13 m de large. Son agilité et son accélération, qui n’ont rien à envier à celles d’un deux-roues, font de la Twizzy une voiture idéale pour se faufiler en ville. Le modèle dispose d’une puissance de 20 chevaux et est capable d’atteindre les 75 km/h. Son habitacle, sa légèreté ainsi que sa conception générale permettent au véhicule de disposer d’une autonomie rallongée, à 100 km.
Un point fortement négatif, la batterie est louée 150 euros par mois.
NISSAN LEAF
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Classée voiture mondiale de l'année 2011, elle est vendue à partir de 30 999 euros, batteries comprises
Cette voiture de 5 vraies places est commercialisée au Japon et aux États-Unis depuis décembre 2010 et est disponible dans l'ensemble de l'Europe depuis fin 2011.
La motorisation entraîne les roues avant et est alimentée par une batterie lithium-ion d'une capacité de 24 kWh . Le moteur est capable de produire une puissance maximale de 80 kw soit 107 ch et 280 Nm. Son autonomie est d'environ 160 km. La batterie se charge sur le secteur (230 V) en huit heures et peut être chargée à 80 % de sa capacité en 30 min avec un chargeur rapide. Nissan estime que 90 % des utilisateurs de la LEAF auront recours à la recharge à domicile.
Sa vitesse maximale est annoncée à 140 km/h. Les 48 cellules de batteries pesant un total de 250 kg sont positionnées sous l'habitacle, dégageant ainsi totalement le coffre. Le centre de gravité est ainsi plus bas pour une meilleure tenue de route. A l'intérieur, la console centrale est ergonomique.
MODÈLE S DE TESLA MOTORS
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Elon co-fondateur de Tesla Motors est titulaire de bachelors en physique et commerce de l'Université de Pennsylvanie, il travailla brièvement sur les condensateurs haute capacité chez Pinnacle Research dans la Silicon Valley afin de comprendre leur potentiel en tant que mécanisme de stockage d'énergie pour les VE (véhicules électriques).
Il projeta d'étudier à Stanford les sciences des matériaux et la physique appliquée mais mit sa scolarité de côté pour créer les entreprises Internet Zip2 et PayPal.
Outre ses fonctions au sein de Tesla, il est aussi président-directeur général et directeur technique de SpaceX, ainsi que président de SolarCity.
JB Straubel, co-fondateur de Tesla, a commencé dans le Wisconsin quand, à 14 ans, il découvrit dans un dépôt de ferraille une voiturette électrique de golf qu'il décida de rénover. C'est ainsi que naquit sa passion de longue date pour les travaux sur l'énergie et les véhicules électriques.
Une fois titulaire d'un bachelor en génie des systèmes énergétiques et d'un master en génie énergétique de l'Université de Stanford, JB délaissa les hivers rudes du Winsconsin. Il vit maintenant à Menlo Park en Californie, où il continue de s'adonner à sa passion pour le transport électrique : il a en effet construit une Porsche 944 électrique détentrice d'un record du monde de course de VE (véhicule électrique), un vélo électrique personnalisé et un système de remorque hybride d'avant garde. JB est également un pilote chevronné.
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Avant Tesla, JB fut directeur technique et co-fondateur de la firme aéronautique Volacom qui conçu une plate-forme d'aéronef électrique haute altitude utilisant un système motopropulseur novateur. Chez Volacom, JB inventa et breveta un système de propulsion électrique hybride de longue endurance qui fut ensuite concédé à Boeing. Avant Volacom, JB travailla chez Rosen Motors comme ingénieur de propulsion au développement d'une nouvelle transmission pour véhicule électrique hybride basée sur une micro-turbine et un volant-moteur à grande vitesse. JB fit également partie de l'équipe d'origine de Pentadyne, où il conçu et fabriqua un onduleur de courant alternatif première génération de 150 kW, des contrôles de moteur-générateur et des systèmes de paliers magnétiques.
JB supervise l'étude et la conception technique des véhicules, en se concentrant sur la batterie, le moteur, l'électronique de puissance et les logiciels sous-systèmes de haut niveau. En outre, il évalue les nouvelles technologies, gère l'essai des systèmes des véhicules et assure l'interface technique avec les principaux fournisseurs.
En concevant pour le Model S, un pack de batteries placé sous le plancher et en combinant l’électronique et le moteur dans un module compact situé entre les roues arrière, les ingénieurs Tesla ont développé une voiture qui intègre parfaitement le moteur Tesla. L’intégration parfaite est la clé de l’exploitation intégrale des avantages d’une voiture électrique. De plus elle crée de nouvelles opportunités en termes de sécurité et de rendement tout en maximisant l’espace intérieur.
Le pack de batteries constitue une structure légère et très performante qui, lorsqu’elle est couplée au reste de la carrosserie, résulte en une plateforme à l’intégrité inégalée. La conception de la voiture permet d’atteindre un rendement, une sécurité et un design impossibles sur une architecture élaborée autour du moteur à combustion. L’emplacement du pack de batteries sous le plancher permet également une interchangeabilité rapide.
Les batteries sont conçues pour se recharger en 45 minutes. Le moteur Tesla est presque trois fois plus efficace qu’un moteur essence et permet à la Model S de passer de 0 à 100 kilomètres par heure en moins de six secondes. La Model S possède trois options en matière de pack de batterie, permettant de choisir entre une autonomie de 150km, 370km et 480km par charge. La Model S peut se recharger en utilisant une prise électrique standard.
TESLA ROADSTER
La Tesla Roadster est une voiture de sport électrique. C'est la première voiture produite par l'entreprise californienne Tesla Motors, installée à San Carlos, États-Unis. Elle a été dévoilée au public le 19 juillet 2006 et la production en série a débuté le 17 mars 2008.
Sa batterie au lithium-ion donne à la Tesla Roadster une autonomie de 340 km et se recharge en huit heures. Elle est vendue au prix de 84 000 euros. Son accélération permet de passer de 0-100 km/h en 3,9 secondes, avec une vitesse de pointe à 212 km/heure.
Elle consomme 135 W.h/km (4,60 mi/kW.h) et a une efficacité de 92 % en moyenne de la batterie à la roue.
Une version plus sportive de cette deux-places a été dévoilée en janvier 2009, le Roadster Sport, vendu 100 000 euros. Elle est désormais capable d'atteindre les 100 km/h départ arrêté en 3,7 secondes grâce à un moteur de 215 kW (280 ch environ) permettant une vitesse limitée électroniquement à 212 km/heure.
Le véhicule a été développé avec l'aide de Lotus Cars, qui a fourni la base du châssis de la Lotus Elise. Sur cette base repose une carrosserie en fibre de carbone confectionnée à Saint-Méloir-des-Ondes en France, par Sotira 35
Elle a participé à la compétition des énergies alternatives de Monte-Carlo en mars 2009 et a pu relier Monaco depuis Valence (soit 386 km) sans arrêt. Elle a gagné le rallye de Monte-Carlo Energies Alternatives en 2010 avec comme pilote Erik Comas et copilote Sébastien Chol.
L'ingénierie du bloc propulseur a été développée par la société californienne AC Propulsion.
VENTURI FETISH
La Venturi Fétish est la première voiture de sport 2 places électrique au monde. Elle est produite par le constructeur français Venturi à Monaco. Elle restera une rareté absolue, le constructeur s'étant engagé à fournir seulement 25 véhicules dans le monde.
L'accélération de la voiture est comparable à celle d'une voiture de sport à moteur à combustion interne. Le moteur électrique fournit environ 300 ch (220 kW), avec un 0-100 km/h en moins de 4 secondes. Sa vitesse de pointe est de 200 km/heure. Son prix est de 300 000 euros.
La totalité du couple est disponible sur toute la plage de vitesse, y compris lorsque le moteur est au point mort, par opposition à la progressivité d'un véhicule à moteur à combustion interne, où la puissance maximale n'est disponible que dans certains régimes du moteur. L'ingénierie du bloc propulsif ainsi que l'ensemble de la chaîne de traction a été développé par le bureau d'étude de Venturi situé à Monaco.
Venturi précise que la voiture a une autonomie de 340 km (vitesse stabilisée à 90 km/h) et de 160 km en utilisation sportive.
Les batteries sont des accumulateurs au lithium Polymère, offrant une recharge complète en 3 heures (à partir d'un secteur 20 kW triphasé) et en 6 heures avec une prise électrique standard en 230 V grâce à son chargeur embarqué.
MOBILE DREAM
L'Arrêté du 17 mars 2015 porte inscription du véhicule électrique MOBILE DREAM de la société LAZELEC au chapitre 1er du titre IV de la liste des produits et prestations remboursables prévue à l'article L. 165-1 du code de la sécurité sociale.
Cliquez sur le bouton de gauche pour accéder au site de l'entreprise LAZELEC.
LAZELEC est une SAS française créée en 2010 par Lazaro Torregrosa et Patrick Gonod. À mi-chemin entre quad, buggy et VTT, le MOBILE
DREAM est un concept unique : 100% électrique, 2 ou 4 roues motrices, il se faufile sur tous types de terrains escarpés. Vous êtes en parfaite sécurité et
en totale autonomie.
Le MOBILE DREAM est adapté à tout public avec une facilité de prise en main, idéal pour les balades en toute tranquillité.Son dossier réglable selon votre
demande permet une assise des plus confortables. Très bonne gestion du devers, avec une remarquable stabilité. Ses pneumatiques VTT (20 pouces) lui permettent
d’accéder à tous types de chemins. Presque plus aucun obstacle ne résiste au Mobile Dream ! Roulez sans danger à une vitesse de 10 km/h en moyenne et plus si
vous le souhaitez et dans le respect des normes européennes pour cette catégorie.
UN RAPPORT DE L'ONU ALERTE SUR LES DEGATS
DES BATTERIES DES VOITURES ELECTRIQUES
L’ONU a récemment publié un rapport lisible ici en anglais au format pdf concernant la production des batteries pour véhicules électriques.
Un chapitre sur les challenges relevant de l’exploitation du cobalt, ses enjeux sociaux et environnementaux, interpelle à plus d’un titre.
Classé « rouge vif » par le World Materials Forum en raison d’un risque de rupture d’approvisionnement et de son importance pour l’industrie – notamment automobile -, le cobalt est devenu un enjeu stratégique majeur.
Mais cette production est aussi critique en ce qui concerne les conditions sociales et environnementales dans lesquelles elle se déroule.
Le rapport indique par exemple, que la majeure partie du cobalt fourni sur les marchés mondiaux provient de la République démocratique du Congo, dont 20% proviennent de mines artisanales où le travail des enfants et le non respect des droits de l’homme sont nombreux.
On estime que 40 000 enfants travaillent dans des conditions extrêmement dangereuses, avec un équipement de sécurité inadéquat, pour très peu d’argent dans les mines du sud du Katanga.
Les enfants sont exposés à de multiples risques physiques et à des violations et abus psychologiques, uniquement pour gagner un maigre revenu. nécessaire à la subsistance de leur famille. L’utilisation généralisée du travail des enfants dans l’extraction du cobalt peut avoir des implications sur l’approvisionnement mondial, car l’approvisionnement en minéraux extraits par le travail des enfants devient de plus en plus inacceptable pour les fabricants de produits dérivés de matières premières.
Le gouvernement de la République démocratique du Congo reconnaît le problème du travail des enfants dans les mines et a adopté des politiques qui encouragent la gratuité de l’enseignement primaire et interdit l’utilisation d’enfants pour des travaux dangereux. Il promet que d’ici 2025, le travail des enfants sera éliminé des mines.
Enfin, le rapport sensibilise également à la pollution liée à ces extractions minières. Le drainage d’acides miniers contamine notamment les rivières, et parfois même l’eau normalement propre à la consommation.
UNE NOUVELLE BATTERIE DE VOITURE QUI PERMET DE ROULER
C'est l'histoire d'une technologie révolutionnaire longtemps méprisée par les constructeurs automobiles. C'est également l'histoire de son inventeur, Trevor Jackson, qui vient de signer un contrat à plusieurs millions d'euros qui pourrait changer à jamais l'industrie.
Trevor Jackson originaire de Grande-Bretagne vient de dévoiler une batterie électrique qui permettra aux conducteurs de rouler sur plus de 2 400 kilomètres sans avoir besoin de se recharger.
Cet Anglais de 58 ans a travaillé pour Rolls-Royce puis a été en charge des réacteurs d’un sous-marin nucléaire pour l’armée britannique. Ingénieur de formation, il s’est décidé à se mettre à son compte en 1999. Et c’est là que le vrai voyage commence.
Cela fait 20 ans, installé dans un petit village des Cornouailles, qu’il travaille à un prototype de batterie électrique. Une nouvelle technologie à la fois plus efficace, plus économique à produire et plus facilement recyclable que celles actuellement commercialisées. Si la technologie reste évidemment top secrète pour l’instant, elle a néanmoins été validée récemment par deux universités françaises et pourrait à terme servir non seulement pour le secteur automobile, mais aussi pour l’aviation
Cette invention pourrait bien changer radicalement la face du monde des véhicules électriques. En effet, cette nouvelle batterie électrique serait capable d’alimenter des bus, des camions de transport et même des avions. Autre point important : elle peut également être facilement recyclée, et c’est un détail qui change tout par rapport aux batteries actuelles.
L’ingénieur britannique à l’origine de l’invention vient de signer un contrat de plusieurs millions d’euros avec Austin Electric une société d’ingénierie qui travaille essentiellement sur les batteries électriques pour véhicules. La fabrication de sa batterie va donc pouvoir démarrer.
C’est grâce à une subvention de 125 000 euros délivrée par l’Advanced Propulsion Centre, qu’il a pu développer cette technologie. Ensuite, son invention a été validée par deux universités françaises. Il a toujours été passionné par l’écologie et dans ses différentes fonctions et a sans arrêt cherché à mettre en œuvre des moyens alternatifs pour réduire sa consommation d’énergie.
Pour Danny Corcoran, le CEO d’Austin Electric : « cette nouvelle technologie change la donne. Je suis convaincu qu’elle peut contribuer à déclencher la prochaine révolution industrielle. Les avantages par rapport aux batteries traditionnelles sont énormes ».
Pourtant, il y a 2 ans, Trevor Jackson avait failli été exclu d’une prestigieuse conférence qui se tenait à l’ambassade britannique de Paris. Sous la pression des constructeurs automobiles, le ministère des Affaires Étrangères a bien failli céder, mais ce ne fût pas le cas. Grâce à la récente signature avec Austin Electric, sa batterie pourrait enfin se démocratiser.
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